Apostrophe, parce qu’on ne peut défendre et convaincre sans interpeller !
« Ô puissance de l’apostrophe ! C’est, comme vous savez, une figure au moyen de laquelle on a trouvé le secret de parler aux gens qui ne sont pas là, de lier conversation avec toute la nature, interroger au loin les morts et les vivants ». (Courier, Pamphlets pol., lettres au rédacteur du « Censeur », 1819-1820).
Apostrophe, parce que c’est aussi le lien entre deux mots.
«Signe graphique ou principe légèrement recourbé (‘) marquant l’élision d’une voyelle finale à la rencontre d’une autre voyelle ou d’un h muet » (Extraits de « Trésor de la langue française informatisé » TLFI). Lorsque l’amiable s’impose, il se doit d’être fait en finesse pour permettre la réconciliation de positions initialement contradictoires.
Manon Guillon est diplômée du Master 2 Contentieux international et européen de l’Université Paris Nanterre.
Elle a également étudié une année en Irlande, où elle a obtenu un LL.M en droit international des affaires du Trinity College Dublin.
Manon travaille indifféremment en français et en anglais.
Manon Guillon exerce en contentieux des affaires, droit pénal des affaires et compliance.
Avant de rejoindre Apostrophe en octobre 2024, Manon a effectué plusieurs stages au sein de cabinets français et anglo-saxons en contentieux des affaires (Norton Rose Fulbright, Simmons & Simmons, HMN & Partners).
Manon a également eu l’opportunité d’effectuer un stage dans le département Affaires Contentieuses et Enquêtes de la Direction Juridique du groupe Société Générale.