Apostrophe, parce qu’on ne peut défendre et convaincre sans interpeller !
« Ô puissance de l’apostrophe ! C’est, comme vous savez, une figure au moyen de laquelle on a trouvé le secret de parler aux gens qui ne sont pas là, de lier conversation avec toute la nature, interroger au loin les morts et les vivants ». (Courier, Pamphlets pol., lettres au rédacteur du « Censeur », 1819-1820).
Apostrophe, parce que c’est aussi le lien entre deux mots.
«Signe graphique ou principe légèrement recourbé (‘) marquant l’élision d’une voyelle finale à la rencontre d’une autre voyelle ou d’un h muet » (Extraits de « Trésor de la langue française informatisé » TLFI). Lorsque l’amiable s’impose, il se doit d’être fait en finesse pour permettre la réconciliation de positions initialement contradictoires.
Fanny Millet est diplômée du Master 2 Contentieux, Arbitrage et Modes Alternatifs de Règlement des Conflits de l’Université Paris II Panthéon-Assas.
Elle est également titulaire d’une certification d’anglais obtenue à l’école CSLI de Vancouver (Canada) et d’un diplôme universitaire « Economic Law » de l’Institut de droit des affaires d’Aix-en-Provence.
Fanny travaille indifféremment en français et en anglais.
Fanny Millet exerce en contentieux des affaires, droit pénal des affaires et compliance.
Avant de rejoindre Apostrophe en septembre 2021, Fanny a effectué plusieurs stages au sein de cabinets d’avocats américain et français dans des équipes exclusivement dédiées au contentieux des affaires et au droit pénal des affaires (Latham & Watkins, Le 16 Law et Rondot-Eychene-Freminville).
Fanny a également pu mettre à profit sa formation en Contentieux et Modes alternatifs de Règlement des Conflits au sein du service médiation du groupe Engie, du service de la Présidence du Tribunal judiciaire de Paris et de la Legaltech WeClaim.